Umsetzung

 

Die Berufsverbände, die diese Charta unterzeichnen, beteiligen sich aktiv an der Umsetzung der festgehaltenen Grundsätze und Richtlinien, die sich daraus ableiten und respektieren diese bei ihrer täglichen Berufsausübung sowohl auf lokaler als auch nationaler Ebene.

Im Rahmen einer Koordinationsgruppe werden die gemeinsamen Aktivitäten regelmässig priorisiert, in der Projektgruppe koordiniert und die Umsetzung in einem Umsetzungsplan festgehalten. Die Mitglieder und Stakeholder werden über den Stand der Arbeiten regelmässig informiert.

 

Die Charta setzt auf drei Ebenen an: Information, Qualität und Politik

 

1. Information und Kommunikation

1.1. Die Zielgruppe erhält von den Chartamitgliedern einheitliche und ausgewogene Informationen über die Vor- und Nachteile der verschiedenen Massnahmen zur Dickdarmkrebsvorsorge. Um die Chancengleichheit zu gewähren, sind diese an die Gesundheitskompetenz der Zielgruppe angepasst und erlauben eine persönliche Entscheidung über die Teilnahme an der Vorsorge.

1.2. Die beteiligten Fachpersonen und Dienstleister verfügen dank fundierter wissenschaftlicher Dokumentation, Information und kontinuierlicher Fortbildung über einen aktuellen Wissensstand entsprechend ihrer Aufgaben.

1.3. Die beteiligten Chartamitglieder fördern die Durchführung von Erstausbildungs-programmen bezüglich der Vorsorge von Dickdarmkrebs sowie von Weiterbildungs-seminaren, die sich an die betroffenen Fachleute des Gesundheitswesens richten.

1.4. Der Informations- und Kommunikationsfluss zwischen den Chartamitgliedern ist gesichert.

 

2. Qualität

2.1. Die nationalen Qualitätsstandards für die Dickdarmkrebsvorsorge in der Schweiz für asymptomatische Personen ohne hohes Risiko werden regelmässig in interprofessionellen und von Chartamitgliedern koordinierten Arbeitsgruppen vervollständigt, überarbeitet und auf einvernehmliche Weise aktualisiert.

2.2. Die Qualitätsstandards verpflichten zur stetigen Qualitätsverbesserung. Die Chartamitglieder fördern gemeinsam die inter-professionelle Zusammenarbeit, den Austausch z.B. in Form von Qualitätszirkeln oder Qualitätstreffen sowie die kontinuierliche Weiterbildung.

2.3. Die Qualitätsstandards fordern die regelmässige Überprüfung und Evaluation des Angebots, der Qualität und der Wirksamkeit der Dickdarmkrebsvorsorge. Die Chartamitglieder engagieren sich für die Veröffentlichung der Resultate und damit verbundenen steten Qualitätsverbesserung.

 

3. Politik

3.1. Die Charta setzt sich für einen schweizweiten Ausbau von organisierten, franchisenbefreiten Programmen ein. Somit ist eine Teilnahme unabhängig von der finanziellen Situation des Einzelnen möglich.

3.2. Die Charta setzt sich dafür ein, dass im Rahmen organisierter, qualitätsgesicherter Programme für Dickdarmkrebsvorsorge die Leistungen aller Dienstleister über die obligatorische Krankenversicherung und zu einheitlichen Tarifen erbracht werden können.

3.3. Die Charta setzt sich ein für eine Erhöhung der Alterslimite von 69 auf 74 Jahre für die Übernahme der Kosten der Koloskopie, resp. des Blut-im-Stuhl Tests durch die obligatorische Krankenversicherung. Analog dazu soll auch die Franchisen Befreiung im Rahmen organisierter Programme bis 74 Jahre gesetzlich verankert sein. Mehr als die Hälfte der Patienten erkranken jenseits des 70. Lebensjahres an Darmkrebs.

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Mise en oeuvre

 

Les associations professionnelles signataires de la présente Charte participent activement à la mise en oeuvre des principes et lignes directrices qui en découlent et les respectent dans leur pratique professionnelle quotidienne, tant au niveau local que national.

Dans le cadre d’un groupe de coordination, les activités communes sont hiérarchisées, coordonnées et font l’objet d’un plan de mise oeuvre. Les membres et les parties prenantes sont régulièrement informés.

 

La Charte se base sur trois piliers : information, qualité et politique

 

1. Information et communication

1.1. Le groupe cible reçoit une information uniforme et équilibrée sur les avantages et les inconvénients des différentes mesures de dépistage du cancer du côlon des membres de la Charte. Pour garantir l’égalité des chances, celles-ci sont adaptées aux connaissances en matière de santé du groupe cible et permettent une décision personnelle quant à la participation au dépistage.

1.2. Grâce à une documentation scientifique solide, à l’information et à la formation continue, les spécialistes et les prestataires de services concernés disposent d’un niveau de connaissances actualisé et adapté à leurs tâches.

1.3. Les membres de la Charte concernés encouragent la mise en oeuvre de programmes de formation initiale sur le dépistage du cancer colorectal et de séminaires de formation continue destinés aux professionnels de la santé concernés.

1.4. Le flux d’informations et la communication entre les membres de la Charte sont assurés.

 

2. Qualité

2.1. Les standards nationaux de qualité pour le dépistage du cancer du côlon en Suisse pour personnes asymptomatiques sans risque élevé sont régulièrement complétés, révisés et miss à jour de manière consensuelle dans des groupes de travail interprofessionnels coordonnés par les membres de la Charte.

2.2. Les standards de qualité s’engagent à une amélioration continue de la qualité. Les membres de la Charte encouragent conjointement la coopération interprofessionnelle, l’échange, par exemple sous la forme de cercles de qualité ou de réunions sur la qualité, ainsi que la formation continue.

2.3. Les standards de qualité prévoient un examen et une évaluation réguliers de la portée, de la qualité et de l’efficacité du dépistage du cancer colorectal. Les membres de la Charte s’engagent à publier les résultats et à améliorer continuellement la qualité.

 

3. Politique

3.1. La Charte préconise l’expansion à l’échelle nationale de programmes organisés et exemptés de franchise. Ainsi, la participation est possible quelle que soit la situation financière de l’individu.

3.2. La Charte préconise que, dans le cadre de programmes organisés et de qualité assurée pour le dépistage du cancer colorectal, les prestations de tous les prestataires de services puissent être couvertes par l’assurance maladie obligatoire et à des tarifs uniformes.

3.3. La Charte préconise de faire passer de 69 à 74 ans l’âge limite pour la prise en charge par l’assurance maladie obligatoire des frais de coloscopie ou du test de sang dans les selles. De même, l’exonération des franchises dans le cadre de programmes organisés jusqu’à l’âge de 74 ans devrait être ancrée dans la loi. Plus de la moitié des patients développent un cancer colorectal après l’âge de 70 ans.

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